L'équipage de base est constitué de Daniel (Skipper) et Danièle (navigation, cuisine, ménage, courses, infirmerie, relations internationales ...), 104 ans à eux deux...
Pour cette navigation vers la Baltique, l'équipage sera renforcé par Gorän (viking de service).
Nous sommes bien sûr les meilleurs marins, expérimentés… mais tout de même nous avons ressenti en léger besoin d’apprentissage !
Pour cette navigation vers la Baltique, l'équipage sera renforcé par Gorän (viking de service).
Nous sommes bien sûr les meilleurs marins, expérimentés… mais tout de même nous avons ressenti en léger besoin d’apprentissage !
La bête exige d’être maîtrisée…
Notre expérience nautique
Nous avons abordé la voile relativement tard, et par la planche à voile… cela fait trente ans.
Nous avons acquis notre premier bateau, Morvran, en 1988 : un mini Craff de 6 mètres (5,95 m pour être puriste) en bois contre-plaqué, et avec 4 couchettes ! D’occasion… après une remise en état suite à la tempête du 16 octobre 1987. Nos exploits en famille consistaient à des traversées vers les Glénan, voire l’île de Groix et Belle Ile…
Une mutation dans le Sud de la France nous a privé de l’usage de ce bateau que nous avons cependant conservé. Une petite annonce dans un journal local a attiré notre attention : un Super Challenger de 8,90 m était en vente à l’Estaque pour un prix dérisoire… Nous avons franchi le pas. Et vite compris pourquoi il était « dans nos prix » : les anciens propriétaires, en fait des co-propriétaires jouaient à celui qui investirait le moins dans le bateau et celui-ci était abandonné depuis un an dans le port de l’Estaque ("Marius et Jeannette", vous connaissez ?). Un peu d’eau de mer dans les fonds, un moteur qui démarrait quand cela lui chantait, une grand’ voile qui s’est déchirée en deux (de haut en bas) au premier virement de bord, des vis non inox… Lagad Du nous a pourtant apporté beaucoup de bonheur pendant 15 ans. Avec ce Super Challenger, nous avons fait le tour de Corse et visité les Iles Scilly ainsi que la Cornouaille britannique. Bref, un très bon bateau, un peu rude qui prenait l'eau de partout mais qui nous a permis à peu de frais de faire notre expérience nautique.
Nous avons acquis notre premier bateau, Morvran, en 1988 : un mini Craff de 6 mètres (5,95 m pour être puriste) en bois contre-plaqué, et avec 4 couchettes ! D’occasion… après une remise en état suite à la tempête du 16 octobre 1987. Nos exploits en famille consistaient à des traversées vers les Glénan, voire l’île de Groix et Belle Ile…
Une mutation dans le Sud de la France nous a privé de l’usage de ce bateau que nous avons cependant conservé. Une petite annonce dans un journal local a attiré notre attention : un Super Challenger de 8,90 m était en vente à l’Estaque pour un prix dérisoire… Nous avons franchi le pas. Et vite compris pourquoi il était « dans nos prix » : les anciens propriétaires, en fait des co-propriétaires jouaient à celui qui investirait le moins dans le bateau et celui-ci était abandonné depuis un an dans le port de l’Estaque ("Marius et Jeannette", vous connaissez ?). Un peu d’eau de mer dans les fonds, un moteur qui démarrait quand cela lui chantait, une grand’ voile qui s’est déchirée en deux (de haut en bas) au premier virement de bord, des vis non inox… Lagad Du nous a pourtant apporté beaucoup de bonheur pendant 15 ans. Avec ce Super Challenger, nous avons fait le tour de Corse et visité les Iles Scilly ainsi que la Cornouaille britannique. Bref, un très bon bateau, un peu rude qui prenait l'eau de partout mais qui nous a permis à peu de frais de faire notre expérience nautique.
Prise en main 2008
L'expérience acquise sur Lagad Du nous a conduit à rêver d'un bateau type. Il devait être étanche, bon marcheur au près, confortable, et nous permettre de visiter les rivières et les ports de la Bretagne nord... De plus, le skippeur devait pouvoir démonter l'accastillage simplement (notre Super Challenger était entièrement contre moulé... galère en cas d'infiltration ou pour effectuer des réparations). Notre choix s'est donc porté naturellement sur le RM 10.50 qui est à peu près seul dans cette catégorie de bateau. Notre revendeur nous a proposé une prise en main du bateau avec un formateur. C’était une bonne idée. Cela nous a permis de faire un tour rapide de l’ensemble des équipements et de « tirer » sur la bête plus vite que nous n’aurions osé le faire seuls.
Bien sûr, cette période était trop courte pour que nous puissions déclarer avoir tout vu…
Bien sûr, cette période était trop courte pour que nous puissions déclarer avoir tout vu…
Les quelques navigations de l’été 2008 nous ont permis de progresser dans notre apprentissage, mais l’absence de disponibilité du skipper et les retours du bateau au chantier ont limité ce progrès.
Prise en main 2009
Le climat de fin février et début mars a été exceptionnel : nous avons pu remettre les voiles en place dès la fin janvier.
Aucun commentaire:
Enregistrer un commentaire